Généalogie de Carné

Notes



Rome (de), Constance ( °317 Illyricum, Hongrie - †03 novembre 361 Tarse )

Après la mort de ses frères Constantin (340) et Constant (350) qui s'étaient partagé avec lui l'Empire romain, il rétablit l'unité de celui-ci et fait prévaloir l'arianisme contre l'orthodoxie.
Il meurt alors qu'il allait combattre son cousin Julien (futur Julien l'Apostat), préfet des Gaules que son armée venait de proclamer empereur.
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Orsini, Bertoldo ( - †après 1289 )

Signore di Roccagiovine, Penna, Nettuno, Vicovaro, Cantalupo e Poggio d'Oglio (1278), vicario di Roma (1288), podestà di Orvieto (1277), Viterbo (1259) e Lucca (1262), governatore di Spoleto.
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Nogaret (de), Bernard ( °vers 1460 - )

Armes des Nogaret de La Valette : "Parti au 1 d'argent à un noyer de sinople terrassé du même (Nogaret) aux 2 et 3 de gueules à la croix de Toulouse d'or (de l'Isle Jourdain)"
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N, "Gwair" Ap Pill ( °vers 945 - )

Descendant supposé du légendaire Llywarch Hen ap Elydyr de Deheubarth, né vers 475 (Welsh Genealogies 8 vol. Cardiff 1974).
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Payen, Geoffroy ( - †1342 abbaye de Voisins, Saint-Ay (45) )

fonda une chapelle dans l'abbaye de Voisin où il fut inhumé; (source La Chesnaye-Desbois, T15, p530/ G.de Paysac)
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Preuilly (de), Jeanne ( °vers 1200 - )

Possible. La filiation avec ses parents reste à vérifier : Jacques Saillot cite une Jeanne dont il dit ignorer la destinée.
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Rumigny (de), "Nicolas" Ier ( °vers 1052 - †après 1096 )

En 1070, il signe avec son père, la charte de donation d'Aoust au prieuré de Saint-Pierre de Rumigny. (Histoire du diocèse de Laon, p172)
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Rieux (de), "Quesnoc" ou Guéthénoc ( °vers 1045 - †après 1127 )

Source : Généalogie ascendante de Guethenoc de Rieux tirée de " Généalogie des sires de Rieux" publiée par M. Le.Menedans le Bulletin de la Société Polymatique du Morbihan, année 1879 (SPM 1879)
Il assista en 1112, avec sa suite militaire, à deux donation faites à Redon par les ducs Alain Fergent et ConanIII (DM I, 526, 527). Il est témoin en 1127 du procès entre l'abbé de Redon et celui de Quimperlé (DM I, 557).
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Quintin (de), Geoffroy dit Botherel ( °vers 1207 - )

La seigneurie de Quintin fut constituée par Henri d'Avaugour vers 1226 par détachement du Goëllo et pour former l'apanage de son frère cadet Geffroy Boterel.
Fait la branche des Sires de Quintin
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Palerne (de), Gaudémar ( °vers 1330 - )

Armes : "d'or au paon roüant d'azur, au chef du même chargé de trois étoiles d'argent". (archives de La Norenchal).
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Roches (des), "Corbon" IV ( - †après 1014 )

Confirme le don fait par son père en 984 et le fait ratifier en 1014 par le roi Robert par charte, dans laquelle il prend le titre de chevalier.
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Pontverre (de), Vuillelme ( - †après 1329 )

Un des chefs des troupes envoyées par le comte de Savoie, en octobre et novembre 1286, à Genève, pour la défense de la ville, et l'un des chefs de ces troupes qui assistèrent, en 1287 ou 1288, au siège du château de l'Ile.
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Tournai (de), Gauthier ( °vers 1085 - †janvier 1145 )

Tournai (Doornick).
La filiation avec sa mère est controversée : il pourrait être le fils d'Helwide, seconde épouse de son père.
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N, Porcellet ( - †après 1000 )

Le Bourg-Vieux des Porcellets ou Porcairagues est une partie de la ville d'Arles.
Armes de la Maison des Porcellets : "d'or, au porcelet passant de sable"
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Naillac (de), "Hugues" II ( °vers 1180 - †1237 )

Il rend hommage de son château de Gargilesse le 1er mars 1228, en présence de ses enfants, à Guillaume de Chauvigny, seigneur de Châteauroux.
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Naillac (de), "Pierre" Ier ( °vers 1240 - †1307 )

Il prête serment avec son père à l'Archevêque de Bourges le vendredi avant la Toussaint 1262 (27 octobre 1262).
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Rethel (de), Gervais ( °vers 1075 - †1124 )

Destiné à une carrière ecclésiastique il fut nommé en 1107 archevêque de Reims par le roi Philippe Ier à la place de Raoul le Verd, élu par le chapitre; mais il fut déposé et condamné par le concile de Troyes le 23 mai 1107.
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Warcq (de), Othon ( °vers 950 - †vers 990 )

Il édifia vers 971 la forteresse de Warcq, en Ardennes, et s'attaqua à ses voisins, dont l'évêque Adalbéron de Reims. Il est mentionné comme étant d'ascendance impériale.
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Nantes (de), Alain ( °vers 965 - †après 990 Redon (35) )

Après l'assassinat de son père, puis de son oncle, se réfugie dans le royaume de Léon, où on le connait sous le nom de "Don Alanus"
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Oduariz, Ne

Descendante du comte Oduarius, presor de Chaves, peut-être le fondateur du monastère de S. Salvador de Crasto de Avelãs.
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Rennes (de), Juhel Bérenger ( °vers 885 - †vers 970 )

Y a-t'il un Bérenger (+>958), père d'un Juhel (+>960), tous deux comtes de Rennes, ou bien un seul Juhel Bérenger sur la même période ?
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Trie (de), Philippe ( °vers 1225 - )

Incertain : l'identité de ce Philippe n'est pas claire. Certains en font un fils de Mathieu, ce qui est chronologiquement impossible. Si cette filiation est la bonne, Philippe est le 6ème et dernier fils.
Seigneur de Fontenay du chef de sa femme.
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Narbonne (de), Itier ( °vers 985 - †après 1015 )

Il reçoit la grande seigneurerie de Toucy vers 1015 de l'évêque d'Auxerre Hugues de Chalon, dont il était le principal lieutenant, et peut-être son parent.
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Pérouse (de), Jean dit le Vieux

Conseiller de la paroisse du Péage en 1538. propriétaire, selon actes de 1525 à 1563, d'une maison et une terre au Péage, de vignes à Ayancin, de terres à Roussillon, lieu-dit aux Plagnes, et à Saint-Maurice-de-l'Exil.
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Neufville (de), Robert ( °vers 1498 - †1589 Sainte-Marguerite-des-Loges (14) )

En 1570, il rendit aveu de son fief des Loges au baron de Livarot. Avait 90 ou 92 ans le mardi 18 avril 1589.
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Neufville (de), Jean ( °vers 1445 - †après 1523 )

Seigneur d'un quart de fief des Loges les 17 et 18 mars 1469 à la montre de Beaumont-le-Roger.
En 1523, il fut compris par les élus de Lisieux au nombre des personnes nobles de cette élection.
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Neufville (de), Raoul ( - †après 1330 )

La famille de Neufville, connue dès le règne de Saint Louis, prouva sa noblesse devant Raymond de Montfaut, général des monnaies en Normandie, lors de la recherche qu'il fut chargé de faire en cette province en 1463. Noblesse maintenue les 30 mai 1488 (Falaise), 1523 et 1540 (Lisieux), 22 mars 1666 (Alençon).
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Neustrie (de), Berthechar ( °vers 650 - †après 688 )

Battu par Pépin à Tertry en juin 687. Afin de pouvoir négocier la paix avec Pépin, Anseflède fait assassiner son gendre et marie sa petite fille Adaltrude, à Drogon, duc de Champagne, fils de Pépin.
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Névet (de), "Jacques" II ( °1587 - †28 octobre 1616 )

Seigenur de Nevet, de Lezargant, de Pouldavid, de Kerdaoulas, gouverneur du Faou et de Douarnenez, gouverneur de l'île Tristan (1613-1616), un des plus riches gentilhommes de Cornouaille.
Aux Etats de Rennes, une querelle de préséance s'éleva entre lui et Thomas de Guémadeuc, son parent, alors gouverneur de Fougères. Ce dernier résolut le problème en assassinant son adversaire. La veuve de Névet porta plainte et l'assassin, saisi pas la justice du Roi, fut condamné et décapité à Paris en place de Grève. (note B.Yeurc'h)
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Neyret, Antoine ( - †après avril 1651 )

De la Combe.
Quittance du 30.04.1651 pour Jean Neyret de Fontclauze par Anthoine Neyret de la Combe p. de St Just, frères, le père décédé est Pierre Neyret
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Neyret, "Jean" Antoine Marie ( °10 octobre 1855 - †20 juin 1942 Saint-Étienne (42) )

Directeur de la Société des Papeteries de Rioupeyroux en 1881.
Vers 1896, il aide financièrement les frères Charles et Émile Pathé à créer la nouvelle société Pathé.
Achète en 1890 la magnifique résidence de Bel-Air de 2,5 ha (devenue le Collège des Oiseaux en 1942), où il donne des réceptions de grand allure. Grand amateur de peinture.(F.Malartre).
Ruiné par la crise de 1929-1931, Jean Neyret quitte Bel-Air et va habiter chez sa fille Gisèle. En 1939, la grande maison est réouverture pour l'hébergement des réfugiés belges et français du nord.
Surnommé "Jean la lampe" car il a, entre autres, fait remplacer les lampes à flamme particulièrement dangereuses pour les passementiers, par des lampes électriques. C'est pendant son mandat que fut mis en service le barrage de Lavalette.
Président des Aciéries de Firminy, puis des Houillères de la Loire, il créa les aciéries des Dunes à Dunkerque.
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Neyron, Jacques ( °28 novembre 1731 Saint-Étienne (42) - †15 avril 1811 Saint-Étienne (42) )

Seigneur de la baronnie de Roche-la-Molière, marchand-fabricant de rubans, maire de la ville de St Etienne, anobli par une charge de secrétaire du roi (1768).
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Thiollière de l'Isle, Victor ( °28 mai 1801 - †14 mai 1859 )

Géologue, directeur de l'assurance mutuelle, habite 15 rue St-Dominique à Lyon en 1857.
Membre de La Société Impériale d'Agriculture, d'Histoire naturelle et des Arts utiles de Lyon.
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Vincent de Vaugelas, "Claude" Aimé ( °21 mai 1808 Lyon (69) - †07 avril 1879 Gênes, Ligurie, Italie )

Autorisé par décret impérial du 25 juillet 1860 à ajouter à son nom patronymique celui de Vaugelas.
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Rozières (de), Jean ( °vers 1263 - )

En 1289, faisant partie de la suite du duc Ferri, il fut envoyé en prison à Metz avec plusieurs seigneurs, par l'évêque Burchard de Metz qui était en guerre avec le duc.
Il échangea au mois de janvier 1291, avec le consentement d'Adeline, sa mère et de Liébaud de Bauffremont, son beau-père, ce qu'il possédait en la ville et au ban de Rozières, tant en forteresse qu'en salines, terres, justice, avec le duc Ferri de Lorraine, contre ce qui lui appartenait à Domjulien-sous-Monfort et ce qui lui était dû sur la ville de Vittel par Richard et Hugues de Dampierre.
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Nuchèze (de), "Jehan" II ( °vers 1535 - †après 1596 )

Châtelain de la Bruslonnyère, Basdevilain, La Pommeraye & La Brosse, Chevalier de l'Ordre du Roi, Chambellan du Roi Henri III en 1573 et Gentilhomme ordinaire de la chambre du Roi.
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Nägeli, Hans Rudolf ( °1455 - †27 avril 1522 Bicocca, Milan, Italie )

Membre du Grand Conseil de Berne (1486), bailli d'Aarwangen (1487-1496), membre du Petit Conseil (1496, 1503-1504, 1509, 1519), gouverneur d'Aigle (1496-1502), avoyer de Thoune (1505). Délégué en 1510 auprès du pape Jules II et, en 1512, à Venise auprès du cardinal Matthieu Schiner, pour réclamer la solde des troupes confédérées.
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Odde de Bonniot, Charles Joseph ( °vers 1750 - )

Habite Tourres, comparait en 1788 et 1789 aux Etats Généraux, la ruine de sa maison, qui n'était pas des plus opulentes, fut encore achevée par la Révolution et par le grand nombre d'enfants que lui procréa son épouse.
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Oilliamson (d'), Marie "Gabriel" Éléonore ( °1738 - †10 janvier 1830 )

Lieutenant-général des armées du Roi, grand-Croix de Saint-Louis, commandeur de l'ordre du Phënix de Hohenlohe, etc., il fut admis aux honneurs de la cour en 1775.
Il prit part à la guerre de sept ans, puis ayant dù s'exiler en Angleterre, il se mit au service des Princes. Chargé de constituer à Guernesey le corps d'émigrés, il refuse de prendre le commandement de l'expédition de Quiberon qu'il désapprouve mais y participe néanmoins et y est blessé.
Il refuse de servir sous Bonaparte et termine sa longue vie en se consacrant à la terre de St-Germain-Langot qu'il détenait de son épouse.
Il se marie avec sa cousine germaine de la branche aînée dite "de St-Germain" par contrat passé à Versailles.

"A la recherche de nos cousins" par le Cte d'Oilliamson, Vire 1988
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Oilliamson (d'), Marie Françoise ( °25 mars 1764 - †15 juillet 1813 )

A la mort de son unique frère, la branche aînée s'éteint et elle hérite du marquisat de Saint-Germain-Langot et des baronnies des Biards, de Baux, de Caligny, etc.
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Oilliamson (d'), Thomas Gabriel François ( - †08 octobre 1800 Le Mesnil-Adelée )

Servit sous Frotté dans la chouannerie normande et fut fusillé par les Bleus au Mesnil-Adelée. Sans alliance.
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Oilliamson (d'), Thomas Hardouin

Fut vicaire général du diocèse de Rouen; il émigra et fut aumônier du corps d'émigréés que son frère aîné constitutait à Guernesey, puis après la malheureuse affaire de Quiberon, fut aumônier de l'armée de Basse-Normandie.
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Oilliamson (d'), "Jacques" Gabriel Alexandre

Famille ancienne, originaire du comté de Cromarti dans les Highlands d'Ecosse. Elle portait anciennement, dit-on, le nom Macdonald, puis celle de Williamson. Sa filiation suivie est connue depuis Duncan Williamson marié à Alix MacKenzie de Kintall. La famille Williamson faisait partie du clan "Gunn-Williamson" et était alliée aux Stuart. Duncan fut le trisaïeul de Thomas Williamson, qui passa en France en 1495, fut archer de la garde écossaise du roi Charles VIII et se fixa en Normandie.
La difficulté d'écrire le nom de Williamson, conformément aux prononciations écossaise et anglaise en a fait beaucoup varier l'orthographe ; c'est ainsi qu'on trouve ce nom sous les formes de Willanson, de Oillenson, d'Ouillenson, Oeillanson, Eoilliamson, d'Oilyamson, etc., et enfin d'Oilliamson qui est l'orthographe adoptée définitivement. (L'on prononce d'Olianson).
Cette famille essentiellement militaire, qui a obtenu les honneurs de la Cour en 1775 et 1785 a produit : trois archers de la garde écossaise du roi depuis 1495, l'un deux fut chevalier de l'ordre du roi en 1570 ; deux lieutenants d'une compagnie de cent lances depuis 1580, dont l'un deux fut également chevalier de l'ordre du roi ; deux autres chevaliers de l'ordre du roi dont l'un était enseigne de cinquant hommes d'armes et le second lieutenant des gendarmes du duc de Longeville, puis capitaine général garde-côtes en Normandie ; deux exempts des gardes du corps du roi, tous deux mestres de camp de cavalerie et chevaliers de Saint-Louis ; un capitaine de cavalerie, chambellan du roi de Pologne ; un maréchal de camp et lieutenant-général grand-Croix de Saint-Louis, etc.
Depuis son arrivée en Normandie, cette Maison s'est divisée en trois branches sous les dénominations de Saint-Germain, de Courcy et d'Ouilly. Cette dernière s'éteignit au XVIIIe siècle avec Thomas vicomte d'Ouilly qui après avoir eu quatorze enfants n'eut pas un seul petit-enfant ! Les deux autres branches ne tardèrent pas à contracter de brillantes alliances : François d'Oilliamson, seigneur de Lonlay, fut comme son père l'un des vingt-cinq archers de la garde écossaise, et épousa en 1532 Jeanne de Saint-Germain, fille aînée de Michel de Saint-Germain, seigneur de Saint-Germain-Langot, dont la fille puînée, Marie de Saint-Germain, épousa en 1546, Guy d'Harcourt, baron de Beuvron ; Julien d'Oilliamson, vicomte de Couliboeuf, de la branche de Courcy, épousa en 1593 Marie Grente, fille de Robert Grente, seigneur de Villerville, et de Stévenotte d'Harcourt, fille de Guy d'Harcourt et Marie de Saint-Germain, précités. Au siècle suivant, Taneguy d'Oilliamson, chevalier de l'Ordre du roi, marquis de Saint-Germain, épousa en 1616 Renée de Pellevé, fille de Louis de Rohan, prince de Guéméné, comte de Montbazon, et d'Eléonore de Rohan, comtesse de Rochefort ; dans l'autre branche signalons le mariage en 1681 de René d'Oilliamson, marquis de Courcy avec Louise-Catherine Rouxel de Médavy-Grancey, petite-fille de Jacques Rouxel, comte de Médavi et de Grancey, fait maréchal de France en 1651 et soeur de Jacques-Léonor également maréchal de France en 1724. Enfin les unions entre les deux branches furent nombreuses et l'on verra qu'au XIXe siècle les deux branches se fondirent en une seule, la cadette.

Par lettres patentes données à Versailles, au mois de mai 1739, Louis XV érigea en marquisat, sous le nom d'Oilliamson, les terres de Baux, Caligny, Montilly, la Basoque, les bois de Montaigu et les Loges qui faisaient partie du marquisat de Saint-Germain, en faveur de Jacques-Gabriel-Alexandre d'Oilliamson.

(Extrait de "A la recherche de nos cousins" par le Comte d'Oilliamson, Imprimerie Lecornec Vire 2e trimestre 1988.)
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Oilliamson (d'), Guillaume ( °26 janvier 1769 - †21 août 1799 Vincennes (94) )

Il entra en 1782 dans les gardes du corps du roi, nommé capitaine au régiment de Ségur-Dragon en 1788, sert dans l'armée des Princes en 1794 et 1795, puis entre dans le corps des émigrés formé par son beau-frère. Après la malheureuse équipée de Quiberon, il s'engage comme capitaine dans un régiment anglais qui est envoyé à la Jamaïque. Ce service à l'étranger lui déplut et bientôt rentre en France avant la complète pacification de la Vendée. S'il était resté en Normandie, il n'aurait pas été inquiété ; mais il eut l'imprudence de rentrer à Paris. Il fut reconnu, arrêté et le dernier condamné à mort pour fait d'émigration. Il fut fusillé dans les fossés du château de Vincennes le 21 août 1799
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Oilly (d'), Robert ( - †vers septembre 1092 Oxford, Oxfordshire, Angleterre )

À partir de 1071, il fait construire le château d'Oxford. Associé à Roger d'Ivry, il fonde la collégiale Saint-Georges du château d'Oxford, en 1074. Il fait construire un pont de 17 arches pour traverser la Tamise.
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Oradour (d'), Sandebaud ( - †après 1451 )

En 1451, Sandebaud d'Oradour devenu lépreux donnera tous ses biens à sa soeur Marie et notamment le château du Bouchet.
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Oradour (d'), Pierre ( - †27 décembre 1333 )

Les Oradour ont les mêmes armes que les comtes de Toulouse, dont les Oradour descendraient par un fils cadet de Raymond Ier, Hugues, cité en 980, sous le nom de Jurquet, seigneurs d'Oradour (évêché de Saint Flour).
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Orenge (d'), Marie ( °vers 1362 - )

Nièce du connétable du Guesclin, reçoit de lui 10.000 livres en don lors de son mariage, en juillet 1378.
Le Lude (72-Sarthe)
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Vendôme (de), Jean ( °vers 1380 - †vers 1456 )

Plaide en 1408, contre Simon de Dreux, chevalier, seigneur de Beaussart et Senonches, maître d'hôtel du Roi.
Feuillet (La Feuillée à La Bigotière 53) revint à Guillemette de Vendôme en 1458.
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Thorigny (de), Marie ( °vers 1355 - )

Contesté : H&G l'appelle Marie Paillart, fille de Philibert Paillart chevalier, conseiller du Roi, président du Parlement de Paris & Jeanne de Dormans qui teste le 25 mai 1407, elle-même fille de Guillaume de DORMANS chevalier, chancelier de France & Jeanne BAUBE, dame de Dormans & Silly, décédée le 14 novembre 1405, petite-fille de Jean de Dormans, procureur au Parlement de Paris, mort le 7 novembre 1373 & Antoinette d'Escot. Mais la chronologie semble douteuse.
Dame de Paillart (60), de Thorigny & Lizy.sur.Ourcq (77).
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Orgueil (d'), Bertrand ( °vers 1335 - )

Il se pourrait qu'il descende de Raymond de Gourdon, 3ème fils de Géraud de Gourdon, puisque ce dernier reçoit la baronnie d'Orgueil en héritage, au début du XIème siècle.
On trouve par la suite un Boson d'Orgueil fait chevalier en 1243, puis également un Guillaume baron d'Orgueil attesté en 1283.
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Oveques, Diogo ( - †après 1064 )

em 1064 firmou uma escritura como rico-Homem do rei Dom Fernando Magno de Leão. É opinião geral que este cavaleiro era de sangue Real por descender ou do rei Dom Palayo por sua filha Dona Falquina Paes que foi casada com Esberianes Mexia, senhor da Torre e Casa de Mexia, na Galiza, ou por ser descendente de Gualdim filho de Gumbabundo, rei godo do reino de Messia na Ásia. Outras opiniões há mas que são aqui irrelevantes, como aliás estas outras, ficando aqui apenas a idéia de que de facto parece ser esta Família descendente de sangue Real.
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Thiollière, Antoine ( °vers 1592 Saint-Jean-Bonnefonds (42) - †après 01 août 1651 Saint-Jean-Bonnefonds (42) )

Tenancier à Thiollière. Etait veuf le 16 avril 1651. testament le 1er août 1651.
Thiollière : aujourd'hui côte Thiollière, paroisse de Saint-Jean de Bonnefonds.
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Pacheco, Diogo ( °vers 1542 Algarve, Portugal - †après 1578 )

esteve na batalha de Alcácer Quibir em 1578 como voluntário e á sua custa, onde ficou cativo sendo depois resgatado
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Pacheco Pereira, João ( °27 septembre 1811 Vila Nova de Gaia - †25 décembre 1908 Paredes, Águeda, Portugal )

8° senhor da Casa do Valinho de Beire (Paredes), 10° Senhor da Quinta do Maravedi, em Vila Nova de Gaia (Porto), etc.
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Paga, Guillaume ( °vers 1170 - †après 1218 )

Capitoul de Toulouse en 1203 et 1204.
Présent dans l'armée de Simon de Montfort au siège de Toulouse le 25 mai 1218.
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Pagan, "Guigues" V ( - †1379 Vocance (07) )

Hérite de sa tante Béatrix d'Argental et lègue en 1363 ses seigneuries et toutes ses propriétés à son cousin germain Briand de Retourtour
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Palavicini (de), Jehan ( °vers 1260 - †vers 1297 )

Originaire de Naples, venu en France avec Charles d'Anjou (frère de St-Louis) qui l'envoya en Poitou.
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Rousseau, Adme ou "Edmé" ( °1672 - †avant 1744 )

Armes : "d'azur au chevron d'argent accompagné de trois roses de même". (archives de La Norenchal).
Teste le 25/12/1729
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Palerne (de), Blaise Louis ( °Moulins (03) - †1648 )

Fut blessé d'un coup d'arquebuse lors d'une battue, sa blessure aurait été ensuite empoisonnée par sa femme aidée de sa mère.
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Palette, Marie ( °vers 1370 - )

Armes des Palette : "d'azur à 3 marteaux d'or, en 3 et 1".
Famille d'Abbeville connue depuis Tassart en avril 1363.
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Séverac (de), "Guy" V ( °vers 1210 - †1273 en croisade )

Il est fait Chevalier à Noël 1244 par Raymond VII, comte de Toulouse.
Attesté en 1249, 1260 et 1270.
Décès : en Croisade, sur la route de Jérusalem.
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Pappin, Philippe ( °1609 - †après mars 1678 )

Lieutenant-général en la sénéchaussée et siège Présidial de Ponthieu, il obtint des lettres de relief de noblesse, le 29 octobre 1667.
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Parc (du), Maurice ( °1321 - †1375 )

capitaine de Quimper (avant 1er mars 1360), chambellan du duc de Bretagne, seigneur du Parc en Rosnoen.
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Poissy (de), Simon ( °vers 1133 - )

En 1172, Simon de Poissy et sa femme prennent l'initiative de faire élever une chapelle dédiée à la Sainte-Vierge à Ablon-sur-Seine.
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Paris (de), "Mahaut" ou Mathilde ( °vers 1140 - )

Philippe Auguste confirme une donation de Mathilde femme de Simon de Poissy à l'abbaye des Vaux-de-Cernay en 1189.
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Parthe (de), Arscare ( °vers -270 - †estimé -223 )

fondateur de la dynastie des Arsacides.
Elle dominera l'Iran puis la Mésopotamie et au delà, donnera durant cinq siècles les Roi des Rois.

SCYTHES
Dès le XVIIIe siècle, les Russes se passionnèrent pour les Scythes, et beaucoup d'entre eux voulurent y voir leurs ancêtres. Il apparaît plus plausible, à la lumière des dernières découvertes archéologiques, d'attribuer aux Scythes un rôle prépondérant dans la formation des premières tribus slaves, sans rejeter pour autant le rôle fondamental des autochtones dès avant l'apparition des bâtisseurs de tombes à tumulus ou kourganes. En France, l'intérêt pour les Scythes s'est cristallisé autour de la Grèce et d'Hérodote (env. 480-425 av. J.-C.) qui leur consacre un livre entier de ses Histoires . L'ouvrage de N.Kondakov et I. Tolstoï, Antiquités de la Russie méridionale publié à Saint-Pétersbourg en 1889-1890 et remanié par S. Reinach pour l'édition française de 1891, marque un jalon fondamental de la scythologie. Depuis, une abondante littérature a couvert tous les domaines de l'archéologie scythique, mais aucun ouvrage comparable n'en a fait la synthèse. Les problèmes soulevés sont pourtant de grande importance: outre le rôle des Scythes dans la formation des peuples slaves se dessine la genèse des premières puissances nomades.C'est en effet au début du Ier millénaire avant notre ère que l'extension des troupeaux atteignit un degré qui modifia l'équilibre des populations. Jusqu'alors, l'agriculture et l'élevage fixaient les populations au sol. Á l'âge du bronze, l'accroissement de l'élevage entraîna la transhumance et le semi-nomadisme. Vers le IXe siècle avant J.-C., le nomadisme était total et les populations se partagèrent dès lors en deux groupes: les agriculteurs sédentaires et les éleveurs nomades. C'est le début d'un duel qui commença avec les Scythes et se poursuivit avec les Grandes Invasions pour se terminer avec les conquêtes gengiskhanides.
Légendes et origines :
Parlant des origines des Scythes, Hérodote raconte les légendes qu'il a lui-même entendues à Olbia au cours du voyage qu'il y fit pour préparer le sixième livre de ses Histoires. L'ancêtre des Scythes serait un certain Targitaos, fils de Zeus et d'une fille du fleuve Borysthène (Dniepr): les trois fils de ces derniers virent, un jour,tomber du ciel divers objets en or et voulurent s'en saisir; mais seul le plus jeune y parvint, méritant ainsi la royauté, et c'est de lui que descendraient les Scythes royaux. Suivant une autre légende,Héraklès atteignit la Scythie, alors déserte. Au cours de son sommeil, les juments de son char disparurent; après de longues recherches, il les retrouva aux mains d'un monstre demi-femme, demi-serpent qui, pour prix du rachat, lui demanda ses faveurs. Á son départ, elle le questionna sur le sort qu'il conviendrait de réserver aux trois fils qu'elle attendait de lui. Héraklès lui confia alors un de ses arcs ainsi que son baudrier auquel était suspendue une coupe en or. Á celui qui saurait bander l'arc et ceindre le baudrier comme lui reviendrait le pouvoir, aux autres l'exil. Le moment venu, les trois fils, Agathyrse, Gelon et Scythe, subirent l'épreuve; le dernier l'emporta, donnant son nom à toute sa descendance, à tous ceux qui, dès lors, vécurent en Scythie. Le troisième récit consigné par Hérodote s'écarte de la mythologie grecque et semble mieux convenir aux exigences historiques. Les Scythes seraient venus d'Asie. Chassés par les Massagètes, ils s'installèrent en terre cimmérienne. Toutes les recherches historiques et archéologiques confirment aujourd'hui cette origine. Les terres eurasiatiques furent en effet, au seuil du Ier millénaire avant notre ère, le siège de nombreux mouvements dont les répercussions déclenchèrent des migrations de peuples à la recherche de nouveaux pâturages [cf. SIBÉRIE]. Ces mouvements entraînaient la constitution de nouvelles alliances et la naissance de confédérations souvent très puissantes: celles-ci gardaient le nom de la tribu qui les avait fondées. Un groupe de tribus apparentées pouvait émigrer en laissant sur place des tribus antérieurement soumises et aller conquérir plus loin d'autres groupes qu'abandonnaient des confédérations menacées. Il en fut ainsi des Scythes, envahissant les terres relevant des Cimmériens, absorbant leurs tribus vassales et affrontant la tribu maîtresse. Le premier souci des nouveaux venus fut de réduire leurs adversaires jusque dans leurs retranchements. Ils les poursuivirent sur les grands axes des régions caucasiennes, les pourchassant jusqu'aux riches royaumes de l'Orient.
Guerres et conquêtes :
Suivant les données assyriennes, Cimmériens et Scythes ravageaient dès le VIIIe siècle les royaumes de l'Orient ancien et prenaient une part active aux guerres qui opposaient Assyriens, Mèdes et Néo-Babyloniens. Poursuivant les Cimmériens par des jeux d'alliances subtiles, les Scythes conquirent la Médie, la Syrie, la Palestine, ne s'arrêtant qu'en 611 avant J.-C., désarmés par les dons judicieux du pharaon Psammétik Ier. Pratiquement maîtres de l'Asie antérieure pendant plusd'un quart de siècle, ils laissèrent un souvenir de terreur dont les prophètes de la Bible et l'Apocalypse soulignent l'ampleur.
Après avoir écrasé les Cimmériens en Asie Mineure (635 av. J.-C.), les Scythes furent eux-mêmes chassés par les Mèdes et ramenés à leur point de départ, en terre européenne. Au VIe siècle avant J.-C., ils occupaient largement la Russie méridionale. Tandis qu'un groupe deScythes nomades faisait paître ses troupeaux dans les steppes cimmériennes, le groupe aristocratique dit des Scythes royaux s'installait sur les bords de la mer d'Azov. Deux autres groupes d'agriculteurs, Scythes cultivateurs et Scythes laboureurs, travaillaient respectivement les terres fertiles du bas Dniepr et celles du Bug moyen. Les voisins de cet empire étaient, à l'est, les Sauromates dans le Caucase septentrional ainsi que la tribu apparentée des Méotes au Kouban; et à l'ouest, les tribus thraco-cimmériennessises entre le Danube et la mer Égée. En même temps que se produisaient les mouvements des populations nomades, la colonisation grecque enrichissait les rives septentrionales de la mer Noire. Des comptoirs, fondés à partir du VIIIe siècle avant J.-C. par les Milésiens, devinrent vite des villes importantes, telles Panticapée en Crimée orientale, bientôt capitale du royaume de Bosphore, et Olbia,le plus gros centre commercial aux bouches mêmes du Dniepr et du Bug. Ces marchés florissants devaient leur fortune au fait que la Scythie était alors le grenier de la Grèce et son grand pourvoyeur en bois. Ainsi, dès le début du VIe siècle, Darius voulut-il pour dominer la Grèce affamer ses villes et appauvrir ses arsenaux en la coupant de la Scythie. En 514-512, il traversa le Danube, mais les cavaliers scythes évitèrent l'affrontement et attirèrent toujours plus profondément dans la steppe un adversaire qui ne trouvait devant lui que terres brûlées. Sans défaite, mais sans victoire, Darius dut se retirer pour éviter une désastreuse déroute. Désireux de prendre une revanche, le roi scythe Aristagorus chercha contre les Perses l'alliance de Cléomène de Sparte, mais il échoua et rentra dans ses terres, ravageant en 495 la Thrace et gagnant la Chersonèse. Au IVe siècle, les Scythes furent eux-mêmes harcelés par les Sarmates qui commençaient à regrouper toutes les tribus nomades entre Don et Volga. En 346, les Sarmates traversèrent le Don, et le roi scythe Ateas voulut compenser cette pression en conquérant les terres occidentales sises au sud du Danube. Arrêté par Philippe II de Macédoine, il ne se retira que contraint par Alexandre le Grand, non sans avoir obtenu quelques gages de certaines tribus autochtones. Entre les Macédoniens et les Sarmates, le pouvoir politique des Scythes s'amenuisa. Ils durent se retirer sur les terres de Crimée, et, vers 110 avant J.-C., Scylure transféra leur capitale à Neapolis. Entre-temps, et depuis le IVe siècle environ, les Scythes s'étaient sédentarisés. Au cours des IIIe et IIe siècles, à l'image d'un État civilisé, ils avaient fondé eux-mêmes des villes et des comptoirs. Peu après, les Sarmates, cavaliers cuirassés et lourdement armés grâce à leurs étriers, chassèrent des steppes la cavalerie légère de l'ennemi. Seuls, les Scythes royaux, entièrement sédentarisés dans leur réduit de Crimée, se maintinrent encore de longs siècles avant que les hordes hunniques ne les réduisent et qu'ils ne se fondent dans d'autres tribus, dans celles qui allaient écrire l'histoire des Grandes Invasions.
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extraits de : 1997 Encyclopaedia Universalis France S.A. (Tous droits réservés).
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Parthe (de), Artaban ( °vers 170 - †après 226 dans la plaine d'Hormizdagan, en Susiane. )

décédé après 226, dans la plaine d'Hormizdagan, en Susiane, où il s'opposait à Ardachir, prince des Persides qui le tua de sa propre main.
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Rochefort (de), Damette ( °vers 1165 - †1222 )

Peut-etre fille de Payen Ier, seigneur de Rochefort ca 1130-ca 1190.
La filiation avec ses parents reste à vérifier.
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Pérusse (de), Geoffroi ( °vers 1220 - )

Seigneur de Saint-Bonnet La Coussière & de Saint-Ibars, Vicomte de Vauguyon en 1250. Il part avec Saint-Louis à la Croisade. Gravement blessé au siège de Damiette, fait prisonnier et rançonné.
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Rostrenen (de), Geoffroi ( °vers 1247 - †après 1272 )

Figure en 1267 pour un don de 150 livres fait par le duc Jean I Le Roux. S'embarqua le 12 avril 1270 à Marseille pour la croisade en compagnie du duc de Bretagne. Le duc lui est redevable en 1272 de 400 livre pour son voyage.
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Passerat de Silans, Philibert ( °10 avril 1638 - †1694 )

Maintenu dans sa noblesse par arrêt du Conseil d'Etat du 27 mars 1668 et par arrêt de l'Intendant de Bourgogne du 14 mai 1669.
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Passerat, Jean Louis ( °vers 1519 Châtillon-en-Michaille (01) - †1595 )

Trois armes sont données :
1- D'argent, à la chapelle au naturel, au chef d'azur, chargé de trois croissants d'argent.
2- De gueules, à une chapelle d'argent, au chef d'or, ch. de trois passeraux de sable.
3- D'azur à la fasce d'or chargée d'un lion léopardé de gueules, soutenue de deux vols d'argent.
J'en ai fait un petit mélange... (si un des Passerat contemporains a mieux !)
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Passerat de La Chapelle, "Antoine" Catherine Félix ( °1775 - )

Il passa à la Martinique après le licenciement de l'armée de Condé et y épousa sa cousine germaine.Il eut un fils unique marié à Ne de Bazelaire de Lesseux d'où deux filles et un fils resté célibataire.
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Tilly (de), Guillaume ( °vers 1180 - †après 1244 )

Fait partie des seigneurs de Normandie conviés à Saint-Germain-en-Laye en 1236. Sermonné par le Roi à Chinon à Pâques 1244.
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Paulat (de), Jean ( - †après 1469 )

d'une famille de notaires des le XIIIème siècle à Saint-Etienne.
Un acte est reçu par les notaires Baraillon et Paulat en 1276.
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Payen, Geoffroy dit dit le Chien ( - †1220 )

Dit le Chien, à cause de son ardeur pour la chasse; probablement fils de Renaud Payen, Chevalier, Seigneur de Cloyes, mort après 1190.
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Paynel, Foulques ( °vers 1090 Les Moutiers-Hubert (14) - †1138 Dudley, Worcestershire, England )

Il semble difficile qu'il puisse être issu de la seconde épouse de son père, comme le pense Jean-Pierre Masson.
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Rossel, Agnès ( °vers 1240 - †avant 1294 )

Elle se remarie avec un Guillaume de ROCHEFORT : de quelle famille Rochefort s'agit-il ?
Elle acquiert d'Alain d'AVAUGOUR le fief de Moyon en 1272.
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Pélamourgue (de), Pierre ( - †après 1420 )

Les Pelamourgue sont d'une ancienne famille du Gévaudan, connue depuis Maurand de Pelamourgues, vivant en 1202.
La terre de Palhayretz (Grèzes, Lozère) est tenue du roi, par les Pelamorgue depuis 1307 au moins.
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Pelissier, Jean ou "Denis" ( °vers 1405 - )

On connait un Guillaume Pélissier, notaire en 1315 à Cornillon.
Armes : "d'azur à un pélican d'argent, avec sa pité ensanglantée de gueules".
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Tardy de Montravel, Jean-Louis ( °02 octobre 1750 Valence (26) - †16 janvier 1840 Joyeuse (07) )

Louis XVIII lui accorda le titre de comte héréditaire de Montravel en décembre 1814.
Armes : "D'argent à trois cyprès arrachés de sinople, rangés en pal, au chef de gueules chargé de trois besants d'or"
Sans lien prouvé avec la première famille Tardy de Montravel.
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Penmarc'h (de), Charles

auteur de la première branche cadette des Penmarc'h (B.Yeurc'h (BSAF, Les seigneurs de Penmarc'h en Saint-Frégant, 1930, p. 52-92))
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Penmarc'h (de), "René" Ier ( °09 juillet 1584 - †16 septembre 1632 )

Gentilhomme ordinaire de la chambre du pince de Condé d'avril 1602 jusqu'en 1618. (B.Yeurc'h (BSAF, Les seigneurs de Penmarc'h en Saint-Frégant, 1930, p. 52-92))
En 1618 nommé chevalier de l'ordre du Roi et gentilhomme ordinaire de la chambre du Roi. (B.Yeurc'h (BSAF, Les seigneurs de Penmarc'h en Saint-Frégant, 1930, p. 52-92))
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Penmarc'h (de), René ( °vers 1605 - †17 janvier 1638 )

mort célibataire selon B.Yeurc'h (BSAF, Les seigneurs de Penmarc'h en Saint-Frégant, 1930, p. 52-92)
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Penmarc'h (de), "Henri" Ier ( °1360 - †1424 )

Ratifie le traité le 24 juin 1381 à Nantes.
Employé aux guerres de Flandre, dans la compagnie du vicomte de Léon (1383), combat en Poitou contre les Penthièvre (1420).
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Penthièvre (de), "Geoffroi" III Boterel ( - †1209 )

Sans postérité, il donna Penthièvre à Alain, comte de Tréguier.
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Pépin, Jean ( °vers 1472 - †entre 1523 et 1531 )

Famille Pépin : Sr de Belleisle, (Bretagne: St Malo, Rennes; Martinique), ancienne extraction 1472, maintenu noble 1668, 1699, confirmé noble 1735.
Armes : "d'azur au chevron componné de 7 pièces de 4 de sable et 3 d'argent accompagné de 3 pommes".
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Percy (de), Geoffroy ( °vers 1010 - )

Fonda en Basse Normandie le village de Percy à l'emplacement d'un ancien camp romain du nom de Perceium.
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Percy (de), Guillaume ( °1039 Percy (50) - †juin 1099 Montjoie (près de Jérusalem) )

Il participa à la bataille d'Hastings en 1066 et après la conquête de l'Angleterre, reçut de Guillaume le Conquérant de grands fiefs dans le Yorkshire et le Lincolnshire. Il fonda en 1067 l'abbaye bénédictine de Whitby dans le Yorkshire, et se croisa en 1096.
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Perier (de), Pierre ( °31 octobre 1893 Laghouat, Algérie - †22 juin 1968 Paris (75) )

général de division. Grand Officier de la Légion d'honneur. Croix de guerre 14-18.
Habite Estivareilles (03)
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Périer (du), Audran ( - †1000 )

"Hudran , Sire du Périer, mort l'an 1000, & qui paroît, fuivant toutes les présomptions , être fils ou frère de Guégon , vivant vers l'an 980 , & petit fils de Periou, dans le langage Gothique, ou Périer en François, fils puîné de Budic ou Benedic II, Comte de Cornouailles"
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Perilhes (de), Raymond ( °vers 1350 - †vers 1418 )

Vicomte de Périlhes (66) et de Rode en Catalogne, Millas et Joch, Maréchal d'Aragon et Sicile, Gouverneur des comtés, général des mers.
Il est célèbre pour avoir effectué en 1397 un pélérinage mystique en Irlande au Purgatoire de Saint Patrick qu'il raconta dans son livre "Viatge al Purgatori" (édité en 1903 par Jeanroy et Vignaux sous le titre " Voyage au Purgatoire de Saint Patrice, Visions de Tindal et de Saint Paul")
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Regnauld (de), Nicolas ( °1553 - †1616 )

auteur de la branche des Regnauld marquis de Bellescize.
vendit la seigneurie de Valgaudemar le 24 juin 1605 à René de la Tour-du-Pin-Gouvernet, seigneur de la commune de Clémence-d'Ambel.
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Pérouse, Pierre ( °janvier 1681 Vienne (38) - †06 janvier 1758 Roussillon (38) )

s'engage le 6 mars 1694 (à 13ans) comme soldat au corps des Fusiliers de Tessé. Sous-lieutenant la même année, fait la campagne de Flandre en 1695, puis de Meuse en 1697 et 1698. Démobilisé en 1698, lors de la paix de Ryswick.
reprend du service comme soldat en 1701, fait la campagne de Flandre; sous-lieutenant le 24 septembre 1702 dans le régiment du Châtelet, lieutenant le 22 juillet 1704 dans le régiment de Sillery en Espagne. Capitaine le 28 décembre 1709 au régiment d'infanterie de Damas, il quitte le service le 14 novembre 1713, la paix faite.
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Pérouse (de), Antoine ( - †avant 29 août 1564 )

nommé dans un acte du 6 août 1525, à propos de la dîme qu'il devait au prieuré de Salaise. indivis avec ses deux frères jusqu'au 5 août 1543.
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Praire de Terrenoire, Jean-Joseph ( °20 avril 1720 Saint-Étienne (42) - †19 mars 1796 Terrenoire (42) )

changeur pour le Roi à Saint-Etienne, secrétaire du Roi, maison et couronne de France et de ses finances.
Armes : "d'azur à 3 lys tigés d'argent, fleuris d'or, terrassés de sinople, au chef cousu de gueules chargé de 3 étoiles d'argent".
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Pérouse de Montclos, Adrien ( °vers 1680 - †1765 Naples, Campanie, Italie )

Gendarme, fit campagne en Italie. Après la victoire de Luzzara (15/08/1702), on le crut mort, mais on apprit son décès réel en 1765.
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Pérouse de Montclos, Pierre ( °février 1746 Roussillon (38) - †04 décembre 1790 Roussillon (38) )

Fit ses études au collège de Vienne, vécut à Lyon de 1768 à 1780, comme marchand drapier, à l'enseigne de l'Aigle d'Or, rue Fromagerie-Saint-Nizier. Rentre à Roussillon en 1781, échevin de Roussillon en 1786, maire en 1789 et 1790, député de Roussillon pour le Tiers-Etat à l'assemblée du Dauphiné tenue à Romans en 1788.
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Salignac (de), Raymond ( °vers 1378 - †avant 1454 )

Seigneur de Gauléjac, de Tursac, de Terrasson, de Larche et de Rouffignac, chevalier de Saint-Jean de Jérusalem.
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